Investir dans une résidence étudiante sereinement

Ils sont près de 2,5 millions à suivre des études supérieures, et ce chiffre augmente d’année en année. De plus, l’investissement dans les logements étudiants ouvre le droit à une réduction d’impôt pouvant atteindre 4 000 euros par an. En effet, les résidences de services offrent d’indéniables atouts.

Investir dans une résidence étudiante : nos conseils

Les étudiants recherchent principalement des studios loués meublés pour limiter au maximum leurs frais d’installation. La durée de location est généralement de 10 mois par an. Le risque de vacance est très faible compte tenu de la demande, cette formule s’avère donc sécurisée et rentable.

L’investissement dans une résidence étudiante nécessite d’être vigilant sur l’emplacement du bien. Nous vous  conseillons de vérifier sur place si la résidence est à proximité des universités, des transports et des commerces.

Investir dans une résidence étudiante : la résidence de services

Dans le cadre d’une résidence de services, le choix de l’exploitant . L’investisseur devra vérifier si le prix est en adéquation avec les logements neufs du secteur. A ce prix s’appliquera une surcote d’environ 10 % compte tenu des équipements et des services de la résidence.

Investir dans une résidence étudiante : avantage fiscal

Le dispositif LMNP permet un avantage fiscal généreux. En effet, vous pouvez, grâce au statut LMNP réduire vos intérêts d’emprunt, votre taxe foncière et amortir votre investissement sur 30 ans. Ainsi, la part imposable des revenus générés par la location meublée est supprimée pendant toute la durée de votre emprunt.L’amortissement correspond à la perte de valeur du bien pour une période donnée et permet ainsi chaque année de déduire le montant de cette perte de valeur.Les revenus issus de la LMNP sont imposés comme des bénéfices industriels et commerciaux (BIC).

Investir dans une résidence étudiante : la TVA

En signant un bail commercial avec l’exploitant de la résidence, le contribuable peut récupérer le montant de la TVA (20 %) sur le prix de revient (prix d’achat + frais annexes). Il faudra conserver le bien pendant vingt ans ou le céder à un autre acquéreur qui poursuivra le bail. Sinon, le contribuable devra restituer le trop-perçu au prorata du nombre d’années restant.
Enfin, les logements meublés ne sont pas soumis à des plafonds de loyers, ni plafonds de ressources du locataire, ni de zonage particulier.
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